Paquet Omnibus : Bruxelles repeint le Green Deal en fausse simplification
⛔ Au lieu de soutenir les entreprises et l’emploi, Bruxelles continue d’imposer des obligations opaques, complexes et coûteuses qui freinent l’activité économique et affaiblissent notre souveraineté.
📣 À nos côtés, agissez ! Renversons la logique pour enfin :
- Alléger réellement le fardeau réglementaire qui pèse sur nos PME et nos industries ;
- Mettre fin Ă la spirale normative ;
- Redonner aux entreprises les moyens d’innover, de produire et de créer de l’emploi ;
- Faire preuve d’une écologie pragmatique sans nuire à la compétitivité ni au pouvoir d’achat des citoyens.
✍️ Signez notre pétition pour défendre une Europe de bon sens économique, au service de ses citoyens et de ceux qui créent la richesse.
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📉 En février 2025, la Commission européenne a dévoilé son paquet Omnibus censé alléger les normes de durabilité qui pèsent sur les entreprises européennes. Pourtant, derrière cette communication bien huilée, rien ne change sur le fond : l’UE persiste dans sa logique de surréglementation, au détriment de notre compétitivité, de nos industries et de notre souveraineté économique.
▶️ Au Parlement européen, les députés du Rassemblement national membres du Groupe Patriotes pour l’Europe dénoncent une opération de façade. Ce prétendu allègement ne remet pas en cause l’idéologie technocratique qui a conduit à l’asphyxie réglementaire actuelle. Trois points sont particulièrement inquiétants :
✅ Directive CSRD – rapports de durabilité : Cette directive impose aux entreprises de publier des informations sur leur impact environnemental et social. Le paquet Omnibus repousse certaines échéances et exclut 80% des entreprises initialement visées (notamment les PME en partie seulement). Mais pour celles qui restent concernées, les obligations demeurent lourdes.
✅ Directive CS3D – devoir de vigilance : Les entreprises doivent s’assurer que leurs partenaires respectent l’environnement et les droits humains. Avec Omnibus, elles ne sont plus tenues de surveiller toute leur chaîne d’approvisionnement mondiale, mais uniquement leurs sous-traitants directs. Cela simplifie un peu les choses, mais le principe reste le même : on exige des entreprises qu’elles deviennent responsables des pratiques de leurs fournisseurs… ce qui est administrativement et financièrement très lourd.
✅ Taxonomie verte et taxe carbone aux frontières (MACF) : La « taxonomie verte » impose aux entreprises de prouver qu’elles financent des activités considérées comme « durables ». Certaines obligations deviennent optionnelles, mais le système reste en place. Quant à la taxe carbone aux frontières (MACF), elle vise à pénaliser les importations polluantes. Résultat : cette mesure risque d’encore aggraver la hausse des prix pour les consommateurs.
▶️ Le coût de cette surréglementation est colossal : 28 milliards d’euros pour les entreprises de taille intermédiaire (ETI) françaises d’après le mouvement des entreprises de taille intermédiaire (METI). Les conséquences sont bien visibles : l’Union européenne est de moins en moins attractive. En cinq ans, les investissements étrangers ont chuté de 68%, signe que de plus en plus d’acteurs économiques fuient un environnement devenu trop contraignant et imprévisible.
👊🏻 Nos députés exigent un changement de cap réel : une simplification profonde et la fin de l’idéologie punitive qui pénalise nos entreprises. L’Europe doit redevenir un espace de production, de compétitivité et de liberté économique ; pas une forteresse bureaucratique hostile à ceux qui créent de la richesse.