🚨 Bruxelles menace à nouveau nos agriculteurs. Il est temps de dire stop.
📉 Dans la future Politique agricole commune, la Commission européenne veut poursuivre ses dérives idéologiques. Au menu : multiplication des contraintes environnementales, un budget en diminution, et mise en concurrence toujours plus féroce avec les produits étrangers.
🌾 Résultat ? Une agriculture européenne fragilisée, des exploitations familiales étranglées, et une dépendance alimentaire vers les pays tiers qui s’aggrave chaque jour.
🧑‍🌾 Nos agriculteurs demandent des moyens et de la protection pas des leçons. Ils veulent produire, vivre de leur travail et transmettre leurs terres. Pas remplir des formulaires absurdes ou laisser leurs champs en jachère pendant qu’on importe du soja brésilien ou du lait en poudre néo-zélandais.
🇫🇷 Le Rassemblement National défend une PAC ambitieuse et souveraine : maintien d’un budget fort et indexé à l’inflation, protection de nos marchés, valorisation de nos productions, et respect de nos spécificités territoriales, notamment en Outre-mer.
🛑 Ensemble, refusons que la Commission décide seule du sort de notre agriculture. Exigeons une PAC qui défende nos paysans, pas les intérêts des lobbies mondialistes.
✍️ Signez cette pétition pour soutenir une agriculture libre, enracinée et souveraine.
Tous les champs suivis d'une astérisque (*) sont obligatoires.
🌍 Alors que la Commission européenne prépare la future Politique agricole commune pour l’après 2027, la délégation du Rassemblement National a pris toute sa part à un débat parlementaire fondamental. En première ligne : la défense d’une agriculture enracinée dans les réalités, loin des dogmes écologistes et des normes hors-sol qui ont tant fragilisé notre agriculture et nos territoires.
⚠️ Car soyons clairs : la Commission européenne s’apprête à présenter en même temps le futur budget post 2027 et ses orientations sans même attendre que le Parlement ait voté son propre rapport sur sa vision de la future PAC. Une manœuvre technocratique qui en dit long sur le mépris des institutions bruxelloises pour la démocratie représentative et les peuples qu’elle est censée servir.
🚜 Face à cela, les députés de notre délégation ont porté une voix forte : celle d’une PAC recentrée sur sa mission première — nourrir les Européens —, soutenant les revenus des agriculteurs, leur liberté de produire , et l’ancrage des productions sur nos territoires.
❌ Nous avons rejeté les dérives idéologiques du Pacte vert, la fuite en avant vers une agriculture punitive et déconnectée des besoins de terrain. Non, les jachères imposées, les conditionnalités écologiques délirantes et la bureaucratie oppressante ne sauveront ni l’environnement ni nos fermes. Nous nous sommes opposés à l’entrée dans l’UE de l’Ukraine une puissance agricole qui pourrait absorber une grande partie du budget de la PAC et aggraver la concurrence déloyale.🌱 À l’inverse, nous avons soutenu une PAC tournée vers la souveraineté alimentaire, la protection contre les importations déloyales, le maintien d’un budget fort, et un véritable respect des spécificités de nos territoires — en particulier ceux d’Outre-mer.
🇫🇷 En défendant les amendements du groupe Patriotes pour l’Europe, nous avons fait barrage aux logiques absurdes portées par les Verts et les Socialistes, et redonné une chance à une agriculture vivante, productive et libre.
🗳️ Ce combat est loin d’être terminé. Mais le signal est clair : les peuples d’Europe, par leurs élus, peuvent et doivent reprendre la main sur leur destin agricole.